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Get to know: HPV
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Get to know: HPV
August 31, 2023
VPH : ce qu’il faut savoir
Dernière mise à jour : 18 juillet 2023
Le virus du papillome humain, ou VPH, est l’infection transmissible sexuellement (ITS) la plus répandue dans le monde. Elle touche plusieurs d’entre nous, mais on n’en parle pas assez.
On estime qu’environ 75 % de tous les adultes actifs sexuellement contracteront le VPH à un moment ou l’autre de leur vie. La plupart des infections au VPH disparaissent d’elles-mêmes et il se peut même que vous ne vous rendiez jamais compte que vous avez été infecté. Or, le VPH peut aussi entraîner l’apparition de verrues génitales et, dans certains cas, de certains types de cancers.
Les taux d’infection au VPH sont élevés chez les hommes gais, bisexuels et queers. Nous avons créé cette page pour que vous puissiez tout savoir sur le VPH : de quoi il s’agit, comment il se transmet, quels symptômes surveiller et comment le combattre, notamment par la vaccination.
Depuis l’arrivée de vaccins efficaces contre le VPH en 2006, on a surtout considéré le VPH comme un virus touchant les femmes cisgenres et comme une cause de cancer de l’utérus. Bien que les efforts de vaccination ont permis de faire un pas important dans la lutte contre le cancer de l’utérus, ils ont en grande partie exclu les garçons et les hommes de nos communautés.
Cependant, les choses sont en train de changer et Santé Canada recommande maintenant la vaccination contre le VPH pour les jeunes et les hommes de 26 à 45 ans. On recommande aussi aux hommes queers séropositifs de recevoir une pleine dose du vaccin Gardasil 9 contre le VPH à titre de mesure de prévention contre le cancer.
Se renseigner sur le VPH et le vaccin peut être une première étape vers la vaccination et la prise en charge de notre santé sexuelle.
Qu’est-ce que le VPH?
Renseignements généraux
- Le virus du papillome humain, ou VPH, est l’ITS la plus répandue dans le monde. On estime que 75 % des adultes actifs sexuellement le contracteront à un moment ou l’autre de leur vie.
- Il existe en tout plus de 150 types de VPH, mais 40 sont transmissibles sexuellement.
- Dans la plupart des cas, les infections au VPH n’engendrent aucun symptôme et l’organisme élimine le virus par lui-même.
- Les symptômes dépendront du type de VPH qui vous a infecté, et le fait d’avoir un type de VPH ne vous protège pas contre tous les autres.
- Les types de VPH à risque plus élevé peuvent entraîner des affections qui vont des verrues génitales à plusieurs types de cancers.
Voilà pourquoi la vaccination est importante pour prévenir toute infection avec d’autres types de VPH, et ce, même après avoir commencé à avoir des rapports sexuels et même si vous pensez que votre risque d’être infecté est faible.
Parlez de Gardasil 9 à votre prestataire de soins de santé pour une protection contre le VPH.
Santé Canada recommande fortement le vaccin contre le VPH pour les garçons et les hommes gais, bisexuels ou queers.
- Santé Canada recommande que les hommes de plus de 26 ans séropositifs ou qui ont des rapports sexuels avec d’autres hommes reçoivent une pleine dose de vaccin contre le VPH.
- Gardasil 9 (c’est la marque du vaccin en question) comporte trois injections sur une période donnée.
- Les personnes séropositives courent un plus grand risque de développer un cancer de l’anus; le vaccin contre le VPH réduira considérablement ce risque.
La transmission du VPH et les points à surveiller
La transmission du VPH survient lors d’activités sexuelles telles que le sexe oral, anal, vaginal ou de l’organe sexuel interne.
Le VPH peut aussi se transmettre lors d’un contact de votre peau avec une zone du corps contaminée du partenaire.
Voilà pourquoi le condom et les autres dispositifs utilisés durant l’acte sexuel ne sont pas entièrement efficaces pour protéger contre le VPH.
À l’heure actuelle, la détection du VPH ne fait pas partie des examens de routine en santé sexuelle.
La vaccination est le moyen le plus efficace de prévenir l’infection du VPH, les verrues génitales et certains types de cancers risquant de se développer en raison d’une infection du VPH.
Les verrues génitales
- Les verrues génitales sont le symptôme le plus répandu du VPH. Il ne s’agit pas d’une affection grave et elle peut être traitée par un médecin ou par un prestataire de soins de santé.
- Les verrues génitales peuvent apparaître dans la zone entourant les organes génitaux ainsi qu’autour et à l’intérieur des fesses. Voici les signes à surveiller :
- Les verrues sont de petites taches rondes, le plus souvent de couleur blanchâtre.
- Elles peuvent avoir un aspect lisse ou être bosselées et surélevées.
- Elles peuvent être très visibles ou ne pas l’être du tout.
- De façon générale, les verrues génitales n’entraînent pas de problèmes de santé graves, mais peuvent saigner ou causer des démangeaisons.
- Les verrues génitales peuvent être gênantes et le vaccin Gardasil 9 contre le VPH est extrêmement efficace pour les prévenir et prévenir aussi le VPH.
N’oubliez pas : les traitements offerts en vente libre pour d’autres types de verrues ne doivent pas être utilisés pour traiter les verrues génitales.
Le VPH et le cancer
- La prévention du cancer est l’une des principales raisons pour lesquelles la vaccination des garçons et des hommes est fortement encouragée.
- La vaccination contre le VPH peut aider à réduire considérablement les risques de développer certains types de cancers.
- Les récents efforts de vaccination se sont concentrés sur les hommes gais, bisexuels ou queers.
Le VPH est la cause de plusieurs types de cancers
- Les cancers de l’anus et de l’utérus sont les types de cancers les plus liés au VPH.
- Le VPH est aussi lié aux cancers du pénis, du vagin ou de la vulve et aux cancers oraux (bouche, tête, cou et gorge).
- Il est recommandé de subir des tests de dépistage de ces types de cancers afin qu’ils puissent être détectés le plus tôt possible.
- Les dépistages de routine permettent de détecter les cancers causés par le VPH et la détection précoce est importante dans le traitement du cancer.
- Si vous êtes séropositif, il est important de discuter du dépistage du cancer avec votre médecin ou votre prestataire de soins de santé sexuelle, surtout du dépistage du cancer de l’anus. Demandez quels types de tests de dépistage du cancer peuvent être offerts dans votre cas.
La vaccination contre le VPH devrait être sérieusement envisagée pour les hommes séropositifs de 26 à 45 ans qui sont gais, bisexuels ou queers.
- À la base, les personnes séropositives courent déjà plus de risques de développer un cancer de l’anus.
- Une personne séropositive infectée par un type de VPH susceptible de provoquer un cancer court beaucoup plus de risques de développer ce type de cancer. En fait, le taux de cancer chez ces personnes est 100 fois plus élevé que chez la population en général.
Puisque la plupart des cancers de l’anus sont attribuables au VPH, ce type de cancer est en grande partie évitable grâce à la vaccination.
Pour obtenir les bons soins, il est très important de trouver un prestataire de soins de santé avec qui vous êtes à l’aise de discuter de votre vie sexuelle. Vous trouverez quelques conseils à ce sujet dans le document suivant (en anglais) :
https ://gmsh.ca/wp-content/uploads/2022/09/GMSH-Finding-A-HCP-E-2022.pdf
La vaccination contre le VPH
La meilleure façon de prévenir le VPH est de se faire vacciner avec Gardasil 9 (il s’agit de la marque sous laquelle le vaccin est désigné par la compagnie qui le fabrique).
- Le vaccin Gardasil 9 contre le VPH est administré en trois doses, sur six mois.
- Il est extrêmement efficace pour la prévention de deux types de VPH à faible risque (qui causent les verrues génitales) et de sept types de VPH à risque élevé (qui peuvent causer un cancer).
- Gardasil 9 a démontré une efficacité supérieure à 75 % pour la prévention du cancer de l’anus chez les personnes vaccinées de sexe masculin.
- Gardasil 9 a démontré une efficacité supérieure à 88 % pour la prévention des verrues génitales.
- La vaccination n’éliminera pas un VPH dont vous êtes déjà infecté, peu importe le type, mais il vous protégera contre les types de VPH que vous n’avez pas.
- Gardasil 9 n’entraîne aucun effet secondaire inhabituel. Vous pouvez toutefois vous attendre à une sensibilité au point d’injection, qui cessera le plus souvent au bout de quelques jours.
Se faire vacciner Trouver une clinique de vaccination près de chez vous
FAQ
Le vaccin contre le VPH n’est-il pas principalement destiné aux femmes cisgenres?
Non. Bien que les premiers efforts de vaccination contre le VPH se concentraient principalement sur les femmes et les filles cisgenres et la prévention du cancer de l’utérus, Santé Canada recommande désormais que les jeunes garçons et les jeunes filles reçoivent le vaccin contre le VPH – même chose pour les jeunes hommes gais, bisexuels ou queers de moins de 26 ans et les personnes séropositives.
Le vaccin Gardasil 9 est-il couvert par l’Assurance-santé de l’Ontario?
Si vous avez moins de 26 ans, le coût du vaccin Gardasil 9 est couvert par le régime provincial d’assurance-santé, sans égard à votre statut au sein du régime.
Si vous avez 26 ans ou plus, le vaccin Gardasil 9 n’est pas couvert par le régime d’assurance-santé de la province, mais pourrait l’être par votre assurance privée. Vous pouvez aussi payer le vaccin de votre poche.
Pour plus de renseignements sur la couverture du vaccin, consultez les sites Web des gouvernements de chaque province à partir des liens proposés dans le site Web de Gardasil 9. Vous pouvez aussi vérifier si votre régime d’assurance privé couvre le vaccin en consultant le site Web de Gardasil 9.
Quels sont les effets secondaires possibles de Gardasil 9?
Gardasil 9 n’entraîne aucun effet secondaire inhabituel. Vous pouvez toutefois vous attendre à une sensibilité au point d’injection, habituellement dans le haut du bras.
Les barrières physiques telles que les condoms ne protègent-elles pas contre le VPH?
Elles ne protègent pas totalement, car le VPH peut être transmis par contact cutané avec une zone infectée. Les barrières telles que les condoms (internes ou externes) ne sont pas d’une efficacité absolue pour prévenir la transmission du VPH.
Comment savoir si j’ai le VPH?
Si vous ne ressentez aucun symptôme – si, par exemple, vous n’avez pas de verrues génitales –, il se peut que vous ayez quand même le VPH et votre organisme pourra éliminer l’infection par lui-même.
Il n’existe pas actuellement de tests de routine pour détecter le VPH. Si vous avez des symptômes tels que des verrues génitales, vous devriez communiquer avec votre prestataire de soins afin d’obtenir un traitement et de discuter de la vaccination contre le VPH.
Existe-t-il des tests pour détecter le VPH?
Le test de dépistage du VPH ne fait pas partie des examens de routine en santé sexuelle en Ontario.
J’ai contracté le VPH. Devrais-je quand même me faire vacciner?
Oui. Même si vous avez déjà contracté un type de VPH, il y a quand même des avantages à se faire vacciner et à vous protéger contre les types de HPV que vous n’avez pas.
Si je rate l’une des doses du vaccin, dois-je recommencer tout le processus?
Non. Si vous avez sauté une dose du vaccin, il est recommandé de continuer et de passer à la dose suivante. Le calendrier de vaccination recommandé pour Gardasil 9 prévoit deux mois entre la première et la deuxième dose et quatre mois entre la deuxième et la troisième.
J’ai reçu le vaccin Gardasil 4. Devrais-je aussi recevoir le vaccin Gardasil 9?
Tout dépend de votre situation personnelle; discutez-en avec votre prestataire de soins de santé.
Gardasil 4 a été utilisé de 2006 à 2017, jusqu’au lancement de Gardasil 9, qui permet de prévenir les infections à cinq types de VPH de plus risquant de causer le cancer.
Les cinq types de VPH que prévient Gardasil 9 sont liés principalement au cancer de l’utérus (pour une proportion de 15 à 20 % de plus) et à certains cancers de l’anus chez les personnes ayant un utérus (pour une proportion supplémentaire de 11 %).
Si j’ai commencé ma vaccination avec Gardasil 4, puis-je la terminer avec Gardasil 9?
Oui. Gardasil 9 est maintenant le vaccin à triple dose couramment utilisé contre le VPH. Si vous avez commencé votre vaccination avec Gardasil 4, vous pouvez la terminer avec Gardasil 9.
Où puis-je me renseigner davantage?
La page de renseignements sur le VPH produite par la Ville de Toronto et Toronto Public Health (en anglais) contient plus de renseignements pertinents : https ://www.toronto.ca/community-people/health-wellness-care/diseases-medications-vaccines/human-papillomavirus-hpv-vaccine/
Les fabricants de Gardasil proposent aussi de l’information sur le vaccin :
https ://www.merckvaccines.com/gardasil9/resources/hpv-vaccination-adults/
Last updated: September 9, 2023
HPV is the most common STI in the world. It’s affecting a lot of us, but it isn’t talked about enough.
It is estimated that about 75% of all sexually active adults will get HPV at some point in our lives. Most HPV infections clear up on their own and you may never even know you had it. But HPV can also cause genital warts and in some cases lead to certain types of cancer.
Among gay, bi, and queer guys rates of HPV are high. We created this page to give you everything you need to know about HPV: what it is, how it’s transmitted, what symptoms to look out for, as well as at we can do about it including vaccination.
Since the arrival of effective HPV vaccines in 2006, HPV has been mostly discussed as something affecting cis woman and as a cause of cervical cancer. While an important effort in fighting cervical cancer, vaccination mostly left out boys and men in our communities.
That’s changing and Health Canada now recommends HPV vaccination for young boys and men between the ages of 26 and 45. Queer guys living with HIV are also recommended to receive the full dose of the Gardasil 9 HPV vaccine as a prevention measure against cancer.
Information about HPV and vaccination can be the first step toward getting vaccinated and part of caring for our sexual health.
What’s HPV?
General Info
- The human papillomavirus (HPV) is the most common STI in the world. An estimated 75% of all sexually active adults will get HPV at some point in their lives.
- While there are over 200 types of HPV in total, 40 types are sexually transmitted.
- Most types of HPV infection will show no symptoms and the body will clear the infection on its own.
- But symptoms can depend on what type of HPV you get and having one type does not mean you are protected against all other types.
- Higher risk types of HPV can cause symptoms that range from genital warts to several types of cancer.
That’s why vaccination, even after you begin having sex or you think you are at a lower risk of contracting HPV, is important in preventing infection from other types of HPV.
Talk to your healthcare provider about GARDASIL®9 for protection against HPV.
Health Canada now highly recommends that young boys and men, including gay, bi, queer guys receive the HPV vaccine.
- It is recommended by Health Canada that men over the age of 26 who have sex with men or are living with HIV receive a full dose of HPV vaccine.
- Gardasil 9 (that’s the brand name for the HPV vaccine) is 3 injections over a period of time.
- For people living with HIV there is an elevated risk of developing anal cancer and receiving the HPV vaccine will significantly decrease that risk.
HPV infection happens through sexual activity, including anal, vaginal/ front hole and oral sex.
It can also transmit through skin-to-skin contact with an infected area of the body. Because of this, condoms, and other barriers used during sex are not entirely effective in protecting against HPV.
Currently, testing for HPV is not part of routine sexual health testing.
Vaccination is the most effective way to prevent HPV infection, genital warts, and certain types of cancer that can develop because of HPV infection.
- The most common symptom of HPV is genital warts which are usually not serious and can be treated by a physician or healthcare provider.
- Genital warts can appear in the area surrounding your genitals and around and inside your ass. Here’s what you should look for:
- They are small, round patches, and generally white in colour.
- They can appear smooth or bumpy and raised.
- They can be very visible or not very visible at all.
- Generally, genital warts do not cause serious health problems, but they can itch and bleed.
- Genital warts can be a nuisance and the Gardasil 9 HPV vaccine is extremely effective in preventing genital warts and HPV.
Remember: over-the-counter treatments for other kinds of warts should not be used in treating genital warts.
- Cancer prevention is a main reason in the push for vaccinating more boys and men.
- Vaccination against HPV can help significantly lower the risk of developing certain types of cancer.
- Gay, bi, queer guys have been a focus of recent HPV vaccination efforts.
HPV is the cause of several types of cancer:
- Anal and cervical cancer are the most linked to HPV.
- Also linked to HPV are penile, vaginal, vulvar, and oral (mouth, head, neck, throat) cancers.
- It is recommended that you get screened for cancers to detect any of these conditions as early as possible.
- Routine cancer screenings can identify cancers that HPV causes, and early detection is important in the treatment of cancer.
- It is important to talk to your doctor or sexual healthcare provider about cancer screening, especially anal cancer screening if you’re living with HIV. Ask them what kinds of cancer screening they can do for you.
For gay, bi, queer guys living with HIV, vaccination against HPV should be seriously considered if you are between the ages of 26 and 45:
- This is because for people living with HIV the risk of developing anal cancer is already higher.
- Someone living with HIV who gets a type of HPV infection that could cause cancer is more likely to develop that type of cancer. In fact, the rate is about 100 times greater than in the general population.
Since most cases of anal cancer are attributable to HPV, anal cancer is largely vaccine preventable.
Finding a healthcare provider that you are comfortable discussing your sex life with is so important to getting the right care. We have some tips in this factsheet:
https://gmsh.ca/wp-content/uploads/2022/09/GMSH-Finding-A-HCP-E-2022.pdf
HPV Vaccination
The best way to prevent HPV is vaccination with GARDASIL®9 (that’s the brand name of the vaccine by the company that makes it).
- The GARDASIL®9 HPV vaccine is administered as a series of three shots over a period of six months.
- GARDASIL®9 vaccine is highly effective in preventing two low risk HPV types (that cause genital warts) and seven high-risk HPV types (that can cause cancer).
- GARDASIL®9 has been shown to be more then 75% effective in preventing anal cancers in vaccinated males.
- GARDASIL®9 has been shown to be more then 88% effective in preventing genital warts.
- Vaccination will not cure any types of HPV you may already have, but it will protect you against other types you do not have.
- There are no unusual side effects related to GARDASIL®9. But you can expect some soreness in the area where it is injected. This typically goes away within a few days.
Health Canada recommends that HPV vaccination be completed at a young age, before the onset of sexual activity, or before the age of 26.
- These recommendations are used to try and vaccinate the highest number of young people against most types of HPV.
- Vaccination after the onset of sexual activity, especially for gay, bi, queer guys and anyone living with HIV is still recommended by Health Canada for protection against some types of HPV, as it is unlikely that anyone will have every type (strain) of the virus.
The first step to getting vaccinated is having a discussion with your healthcare provider. - In Ontario, cost of the HPV vaccine is covered by provincial healthcare up to the age of 26, regardless of OHIP status.
After the age of 26, vaccination is not covered by public health care. - Those with private insurance should check with their provider to see how much of the cost of vaccination will be covered before receiving their first dose.
- The cost of paying for the vaccine upfront is $268.02 for each shot.
If you live in Ontario and are over the age of 26: - Find general information about each province’s government website and links to each provincial governments’ website on the Gardasil 9 website.
- Find out if your private insurance covers vaccination using the Gardasil 9 website.
- Find the nearest clinic or pharmacy to access Gardasil by entering your postal code on Vaccines411.ca or use the clinic finder on the Gardasil 9 website.
Find your local vaccination site
FAQ
No. While early HPV vaccination efforts focused mainly on cis girls and women and preventing cervical cancer, Health Canada now recommends that both young girls and boys receive HPV vaccines, as well as gay, bi, queer guys under the age of 26 and people living with HIV. |
If you are under the age of 26 the cost of GARDASIL®9 is covered by provincial health regardless of OHIP status.
If you are age 26 and over the cost of GARDASIL®9 is not covered by the province but may be covered by your private insurance or can be paid out of pocket.
For more coverage information see each province’s government website and links to each provincial government’s website on the Gardasil 9 website or find out if your private insurance covers vaccination using the GARDASIL®9 website.
There are no abnormal side effects related to GARDASIL®9. You can expect to feel some soreness where it is injected, usually in the upper arm.
Not entirely. Since HPV can also be transmitted by skin-to-skin contact with an infected area, barriers like condoms (external or internal) are not entirely effective in preventing HPV transmission.
If experiencing no symptoms, like genital warts, you may not know you have HPV, and your body may clear the infection on its own. Right now, there are no routine tests for HPV. If you have symptoms, like genital warts, you should contact your healthcare provider for treatment and to talk about vaccination against HPV. |
Testing for HPV is not part of routine sexual health testing in Ontario. |
Yes. Even if you already have HPV there is still a benefit to getting vaccinated and protecting yourself from types of HPV you do not have. |
No. If you miss a vaccine dose it is recommended that you continue with your next shot. The recommended vaccine schedule for Gardasil 9 leaves two months between the first shot and the second shot and four months between the second shot and the third shot.
This will depend on your individual circumstances and should be discussed with your healthcare provider.
Gardasil 4 was used from 2006 to 2017, until the introduction of GARDASIL®9, which prevents five more types of HPV that can cause cancer.
The five types of HPV that GARDASIL®9 prevents are mostly linked to cervical cancer (an additional 15-20%) and some anal cancers in people with cervixes (an additional 11%).
Yes. GARDASIL®9 is now the standard three dose vaccine for HPV and if you began with Gardasil 4 you will finish your vaccine schedule with GARDASIL®9.
This City of Toronto/Toronto Public Health HPV vaccine fact sheet has more useful information: https://www.toronto.ca/community-people/health-wellness-care/diseases-medications-vaccines/human-papillomavirus-hpv-vaccine/
and the makers of Gardasil have information here: https://www.merckvaccines.com/gardasil9/resources/hpv-vaccination-adults/
SOURCES
We relied on the most up to date research on HPV and our community to develop information and resources.
Beachler, Daniel C., et al. “Incidence and Risk Factors of HPV-Related and HPV-Unrelated Head and Neck Squamous Cell Carcinoma in HIV-Infected Individuals.” Oral Oncology, vol. 50, no. 12, Dec. 2014, pp. 1169–76. DOI.org (Crossref), https://doi.org/10.1016/j.oraloncology.2014.09.011.
Chambers, Catharine. Human papillomavirus (hpv) vaccine uptake over 12 months among gay, bisexual, and other men who have sex with men (gbm) living with hiv in three canadian cities.
Chidobem, Ikechukwu, et al. “Trends in HPV and HPV Vaccine Awareness among Gay and Bisexual Males in the U.S.” Vaccines, vol. 10, no. 4, Apr. 2022, p. 604. DOI.org (Crossref), https://doi.org/10.3390/vaccines10040604.
Darwich, L., et al. “Oral Human Papillomavirus Type-Specific Infection in HIV-Infected Men: A Prospective Cohort Study among Men Who Have Sex with Men and Heterosexual Men.” Clinical Microbiology and Infection, vol. 20, no. 9, Sept. 2014, pp. O585–89. DOI.org (Crossref), https://doi.org/10.1111/1469-0691.12523.
Fernandez, Elizabeth, and Elizabeth Fernandez. Treating Anal Cancer Precursor Lesions Reduces Cancer Risk for People With HIV.
Fuchs, W., et al. Prevalence of HPV-Related Lesions in an Urban Cohort of HIV-Positive Men in Germany.
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Gilbert, Paul, et al. “HPV Vaccine Acceptability in Heterosexual, Gay, and Bisexual Men.” American Journal of Men’s Health, vol. 5, no. 4, July 2011, pp. 297–305. DOI.org (Crossref), https://doi.org/10.1177/1557988310372802.
Gonçalves, Helena M., et al. “The Prevalence and Risk-Factors of Oral HPV DNA Detection among HIV-Infected Men between Men Who Have Sex with Men and Heterosexual Men.” Infectious Diseases, vol. 53, no. 1, Jan. 2021, pp. 19–30. DOI.org (Crossref), https://doi.org/10.1080/23744235.2020.1811373.
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Leone, Alberto Giovanni, et al. “Cancer in Transgender and Gender-Diverse Persons: A Review.” JAMA Oncology, vol. 9, no. 4, Apr. 2023, p. 556. DOI.org (Crossref), https://doi.org/10.1001/jamaoncol.2022.7173.
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Sarier, Mehmet, et al. “Evaluation of the Optimal Sampling Approach for HPV Genotyping in Circumcised Heterosexual Men with Genital Warts.” Journal of Infection and Chemotherapy, vol. 29, no. 5, May 2023, pp. 475–80. DOI.org (Crossref), https://doi.org/10.1016/j.jiac.2023.01.017.
Zou, Kangni, et al. “Prevention and Treatment of Human Papillomavirus in Men Benefits Both Men and Women.” Frontiers in Cellular and Infection Microbiology, vol. 12, Nov. 2022, p. 1077651. DOI.org (Crossref), https://doi.org/10.3389/fcimb.2022.1077651.